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Baux urbains

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Condamnation du locataire du logement loué aux enchères

Baux urbains

Dans ce cas, les protagonistes sont des locataires qui vivaient dans une maison qui a été vendue aux enchèresparce qu'elle avait une hypothèque en attente. Lorsque le nouveau propriétaire a acquis le logement aux enchères, les locataires ont exercé leur droit de préemption, un droit spécial que certains locataires ont pour rester dans le logement au lieu de l'acheteur, à condition qu'ilségalent les conditionsde la vente. Bien qu'un juge ait reconnu le droit de ces locataires d'acquérir le logement, ils ont mis du temps à pouvoir l'occupercar le bénéficiaire (celui qui a remporté l'enchère) a refusé de leur remettre les clés. Les locataires ont alors décidé de demander une indemnisation pour les préjudices subis, car ils ont dû continuer à payer un loyer ailleurs tant qu'ils ne pouvaient pas entrer dans leur logement. Dans un premier temps, les tribunaux ont déclaré que tant que le bénéficiaire

n'agissait pas de mauvaise foiont mis du temps à pouvoir l'occuper car l'adjudicataire (celui qui a remporté l'enchère) a refusé de leur remettre la maison. Les locataires ont alors décidé de demander uneindemnisation pour les dommages subis, car ils ont dû continuer à payer un loyer ailleurs tant qu'ils ne pouvaient pas entrer dans leur logement.

Au départ, les tribunaux ont déclaré que tant que l'adjudicatairene agira pas de mauvaise foi, il n'avait pas l'obligation de payer une indemnisation simplement pour avoir occupé le logement pendant que la procédure judiciaire était en cours. Cependant, en faisant appel à la Cour suprême (CS), celle-ci précise la situation, à partir du moment où le jugement reconnaissant le droit de préemption est définitif, l'ancien propriétaire doit remettre le logement. S'il refuse sans motif, il devra effectivement indemniser le nouveau propriétaire (le préempteur) pour les dépenses engagées, telles que la location d'un autre appartement.reconnaît le droit de préemption estdéfinitif(c'est-à-dire, il n'est plus possible de faire appel), l'ancien propriétairedoit remettre le logement. S'il refuse sans motif, il devra effectivementindemniser le nouveau propriétaire(le préempteur) pour les dépenses engagées, par exemple, la location d'un autre appartement.

Enfin, la CScondamne l'adjudicataire à payer lesdommages causés depuis que le jugement est devenu définitif jusqu'à ce qu'il soit clair qu'il refusait de remettre le logement. Autrement dit, le propriétairene doit pas payer pour la période pendant laquelle il avaitlégalement la possession, maisdevra le faire depuis que la justice a définitivement déclaré que la maisonère du locataire et pourtant il n'a pas voulu la rendre.

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